Cheval Liberté
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Rencontre avec Maxime Livio
💬 A l’occasion de l’étape Grand National FFE – AC Print de Vittel, Maxime Livio, qui s’était déplacé avec 6 chevaux (pour concourir mais aussi pour participer au stage fédéral organisé cette même semaine), a pris le temps d’échanger avec nos équipes pour discuter des modes d’hébergement « à la carte » qu’il met en place pour ses chevaux au sein de ses écuries, des projets lancés avec Cheval Liberté, mais aussi pour nous confier son plan d’action en vue de PARIS 2024 🏅
Depuis combien de temps travailles-tu avec Cheval Liberté ?
Je suis un utilisateur de longue date du matériel, mais notre proche collaboration s’est réellement développée depuis 3 ans environ.
Sur les 70 chevaux de la maison, 40 dorment dans des structures Cheval Liberté. Nous disposons de 2 barns de 10 boxes sur copeaux construits à des périodes différentes (c’est d’ailleurs chouette de voir comment un barn vieillit avec le temps avant d’en lancer un nouveau) et nous avons aussi construit un barn d’une vingtaine de boxes avec douche, sellerie et parois coulissantes pour optimiser le curage mécanique, car les chevaux qui y dorment sont sur paille, et c’est vrai que ce système est un gain de temps incroyable pour toute l’équipe.
Ce système évite d’avoir à porter trop de charges lourdes, de s’épuiser à cela, c’est vraiment pratique, très facile à utiliser. A 2 personnes, ils peuvent faire le curage hebdomadaire en 1H30, c’est assez génial.
Tu as aussi des chevaux vivant en extérieur : comment sont-ils gérés au sein de tes écuries, et avec quels produits Cheval Liberté ?
J’aime bien l’idée de « personnifier » les chevaux : pour moi chacun a son mode de fonctionnement, certains apprécient de passer des heures au paddock, d’autres moins par exemple.
Dans cette réflexion-là, j’essaie de faire évoluer ma structure pour proposer tous les habitats possibles, et choisir le mode de vie qui correspond le mieux, pour chaque cheval.
Nous avons déjà quelques boxes avec des paddocks sablés. Nous ne sommes pas encore au stade de l’écurie active ici avec ce type de surfaces, qui sont plutôt des terrasses, mais c’est déjà un +, surtout lorsque les chevaux sont autonomes et choisissent l’endroit où ils veulent passer du temps, notamment grâce aux portes fermières Cheval Liberté qu’on laissent ouvertes.
On regarde de quoi nos chevaux sont friands pour ensuite aller plus loin dans les aménagements.
Il y a un an j’ai démarré un vrai prototype d’écurie active à la maison, j’ai commandé 2 abris Nutriconfort Cheval Liberté, installés côte-à-côte et qui desservent chacun plusieurs paddocks;
Les chevaux sont autonomes dans la gestion de leur sortie et de leurs interactions avec les autres, et c’est quelque chose que je vais continuer à développer.
La chance que l’on a avec Cheval Liberté, c’est qu’ils proposent beaucoup de possibilités, de produits différents. Dans mon souhait d’optimiser les différents modes de vie possibles pour un cheval aux écuries Livio, je vais pouvoir piocher dans toute la gamme CL pour construire plusieurs options et choisir en fonction de mes chevaux, quelle option est la plus adaptée pour eux.
Toujours dans cette volonté de proposer des modes de vie personnalisés à tes chevaux, que prévoies-tu de mettre en place ces prochains mois ?
J’aimerais commencer à constituer un groupe de chevaux qui pourraient vivre en communauté au quotidien : on parle de chevaux de sport, il faut donc réfléchir en termes de sécurité, notamment avec les chevaux encore ferrés et la hiérarchie qui doit se mettre en place, mais aussi sur des aspects plus pratiques. A la belle période les paddocks sont magnifiques, mais l’hiver on peut vite abîmer les pâtures, ou compliquer la logistique quand il faut aller les chercher pour travailler.
Je suis donc en réflexion par rapport à des abris mobiles comme le tractabri de Cheval Liberté, qui permettent de faire bouger les chevaux, de personnaliser pour que tout ça « colle » le plus possible à leurs besoins mais aussi pour que ça convienne à l’équipe qui s’occupe d’eux et de l’entretien de la structure ; c’est concilier tout cela qui est le plus difficile dans notre métier.
On a tous Paris 2024 en tête, et tu figures sur la liste « A cheval pour Paris » avec Api du Libaire et Carouzo Bois Marotin. Comment vont se passer les prochains mois pour l’écurie Livio et quelles sont tes prochaines échéances ?
J’ai 4 chevaux sur lesquels je parie pour l’année prochaine.
En accord avec notre sélectionneur Thierry TOUZAINT nous avons finalement décidé d’économiser Api vis-à-vis des championnats d’Europe cette année (du 9 au 13 août au Haras du Pin, NDLR).
(Maxime et Api ont récemment remporté le CCIO4*-S de JARDY en individuel ainsi que la coupe des Nations en équipe)
Avec Api et Carouzo, j’ai 2 chevaux expérimentés, mais j’ai aussi deux 9 ans qui arrivent et qui sont vraiment bien je pense, peut-être même meilleurs, à terme, que les 2 chevaux d’expérience, qui sait ?
Mais ils auront moins de métier. La fin de saison va être importante, donc chaque cheval a sa feuille de route :
Carouzo avec Aix La Chapelle et peut-être le 5* de Burghley en fin d’année,
Api ira à Boekelo en fin de saison pour se requalifier, faire la synthèse du travail de l’année, et voir à quel point on est fiables et prêts.
Et les autres iront aux championnats du monde des chevaux de 9 ans à Blenheim (GBR) avant de prendre une qualification sur les 4*L.
Voilà le plan pour essayer d’être au top et pouvoir représenter la France aux jeux de PARIS !
J’ai la chance d’avoir de grosses équipes autour de moi, que ce soit à la maison, ou en dehors avec des supers partenaires, et je sais que je vais pouvoir compter sur eux pour me préparer au mieux jusqu’à ce grand moment pour la France.
Utilisateur et cavalier partenaire de Cheval Liberté, Maxime peut compter sur notre équipe pour loger et transporter ses chevaux, leur apporter un confort de vie total au quotidien, mais aussi pour continuer à développer ses infrastructures sportives afin de dérouler ses programmes d’entrainement dans les meilleures conditions.
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